Nom • Ame Damnée Age • 8 lunes Sexe • mâle Clan • Solitaire

Caractère • Je ne sais pas comment me décrire. Je ne sais pas comment me caractériser. Je n’agis pas par pur plaisir de faire du mal, non pas encore, je ne crois pas être aussi enfoncé dans l’Enfer à ce point la. J’agis pour mon propre intérêt, pour ce qui me semble juste. Je fais ma propre justice, obéissant à mes propres règles. Je voue un culte sans faille pour mon père. J’aimerai tellement lui ressembler, plus que physique. Maintenant qu’il est reparti, ayant fait son devoir de père même si celui si était un peu tard. Comme dit le proverbe : « mieux vaut tard que jamais. ». Je veux réparer toutes les injustices à ma manière, peut importe que vous aimiez ou non celle-ci, moi je l’apprécie et je la trouve juste pour l’instant. Ne soigne-t-on pas la douleur par la douleur ? Alors pourquoi ne battrons pas le mal par le mal ? Dans mes actions, je ne recherche pas la gloire, je ne recherche pas à me créer un nom. Non ! Loin de moi cette idée. Ce serait comme si je cherchais à gouverner un monde qui ne me ressemble pas. C’est comme si un extraterrestre devenait président alors qu’il ne connait ni nos coutumes, ni notre passé et ni notre langue. Ce serait complètement ridicule. Je me vois mystérieux. Solitaire, j’apprécie tout de même la présence de mes congénères si cela se produit en de rare occasion et si ces derniers sont assez intéressants pour mériter mon attention. Mon jeune âge m’autorise les jeux et les histoires qui n’ont ni queue ni tête. J’apprécie tellement m’imaginer dans la peau d’un personnage que je ne suis pas, m’inventant un monde et des personnes imaginaires, que les autres pourraient me prendre pour un fou. Je montre mon cœur à la forêt et à la nature, m’ouvrant à un ami imaginaire, lui racontant mes malheurs, mes inquiétudes et mes envies. J’aime parler au vide, j’aime croire que quelqu’un, invisible ou non, arrive à me comprendre et aime mes projets, ma façon de voir les choses. Seul cet ami imaginaire connait mon passé, ce qui c’est réellement passé. Tout le monde croit que c’est moi qui l’ai poussé, moi qui la détestais tant. Au début, je m’en vantais, j’avais tellement la rage en moi, et c’était tellement nouveau. J’avais l’impression d’avoir vraiment fait parti de sa mort. Mon père m’a aidé à y voir plus clair, peut-être est-ce lui qui a dévié légèrement le chemin que j’étais en train de prendre. Enfin de compte, je ne suis peut-être pas aussi irréparable que je me butte à croire. Peut-être qu’un jour, je retrouverai le droit chemin et j’arrêterai de m’enfoncer dans ces ténèbres. En attendant, je suis toujours aussi sombre et lunatique quand je parle à quelqu’un. Très peu de personne, à part mon frère, je crois qu’il est le seul à me connaître parfaitement, savent qui je suis. On me voit comme un être ténébreux et monstrueux. Les femelles se demandent comment un être aussi jeune peut être autant remplit de mauvaises pensées que moi ? Si elles savaient. Les mâles, eux, me prennent pour un mioche qui veut faire son intéressant. Ils pensent que je joue à un jeu appelé intimidation et cela les fait rire, ils appellent ça « puéril » et j’ai envie de les cracher au visage et de leur sauter à la gorge. Mais je me retiens, ce n’est pas le moment, un jour viendra, ma revanche approche… Mon cœur est quelque chose de bien enfuit. A part mon frère, personne n’a eu accès à ce dernier. Et cela me chagrine, de ne pas avoir quelqu’un a qui racontait mes soucis. Est-ce pour cela que je me suis inventé un ami imaginaire ? Les êtres vivants sont bizarres. Ils se disent solitaires et pourtant. Ils seront toujours tristes s’ils ne possèdent pas ce qu’on appelle un ami. En aurais-je un jour ? Je ne sais pas. Je m’imagine la perfection. Quelqu’un qui pourrait me comprendre et ne me jugerait pas sur ceux que je fais aux autres. Mais la perfection n’existe pas. Je pense que tant que je n’ai pas changé ma façon de voir cet ami, je n’en aurais pas… L’amour est quelque chose que je n’ai pas encore goûté. A voir l’état de ma mère, cela ne me donne pas envie de savourer les délices de ce sentiment. J’ai encore le temps pour cela. Je suis si jeune, je n’y pense pas vraiment. Les femelles commence juste à m’intéresser légèrement. Elles sont un objet encore inconnu pour moi qui m’intrigue un peu. Je dois avouer qu’elles me font peur. Dire que l’une d’entre elle a failli priver mon père de sa liberté, j’en ai la nausée. Je n’ai pas encore d’avis sur elles, je les étudie depuis peu de temps. Je prends mon temps, ne voulant pas juger trop vite ces créatures gracieuses et agréables à regarder.

Particularités • Je ressemble à mon père. On me la toujours dit. Tu es la réplique parfaite de ton père. On me l’a tellement rabâché que maintenant je n’ai qu’une envie, lui ressembler le plus possible, physiquement et mentalement. J’étais blanc comme neige à ma naissance, c’est un peu plus tard que mes taches apparurent sur mon dos et mon visage. Cela m’affligea au plus haut point. Mon père, blanc comme neige, et moi, moi j’allais me retrouver avec des tâches ? Non, ce n’était pas possible. Je ne pouvais pas l’admettre. En hivers, je me roulais dans la neige, voulant ainsi faire disparaître ces tâches immondes qui étaient apparu. Mais en vieillissant, je me rendis compte qu’elle devenait de plus en plus clair, pas de beaucoup, mais je pouvais peut-être espérer qu’un jour, mon poil redevient blanc comme neige, blanc comme mon père. Cette joie raviva en moi l’idée de lui ressembler. J’étais petit et frêle. Mes yeux verts prenaient toute la place sur mon visage. Immense et si expressif. Je ne pouvais pas mentir, c’était impossible. Au fond de mes prunelles, ce que je voulais cacher se lisait tel un livre ouvert. En général, mes yeux fascinent et terrorisent. Ils sont à la fois votre plus grand rêve et le pire de vos cauchemars. Quand je plonge mon regard dans le votre, cela vous fait frémir d’effroi et de fascination. Souvent illuminé d’une étincelle d’inquiétude et de colère, mon regard pétrifie et fait poser des questions à mon interlocuteur. La haine à beau se lire dans mes yeux, quand je parle, ma voix ne tremble pas de rage et mes gestes sont contrôlés. Je fais preuve d’assure et de maitrise de mon être assez impressionnante pour mon âge. Cela fascine et terrifie… Ma façon de voir les choses est assez…inhabituelle. Encore jeune, je ne connais pas toute la vie et je me fais peut-être une image faussée du monde. En attendant, je crois certaines choses et d’autres non. Je me remets souvent en question, n’ayant pas peur des erreurs, me disant qu’elles sont primordiales pour avancer, pour apprendre, pour devenir fort. Je me considère comme fort. Non, je n’ai pas de muscle, loin de là, je suis trop fragile et je tomberai en miette dans un combat. Je suis fort mentalement. Je ne suis pas du genre à perdre mon sang froid quand on m’insulte. Les remarques, les critiques gratuites ne me font rien. Tant qu’elles ne sont pas justifiées, je les considère comme nulles et la personne qui les a dite comme incompétente et inintéressante. Ne pas savoir se justifier, c’est faire preuve de manque de culture et de maturité pour moi. Je ne me considère pas comme l’être invincible, qui sait tout, qui a tout vu, tout vécu, tout entendu. Je sais que moi-même, quelque fois je ne peux pas me justifier. Alors quand cela arrive, je cherche, je me pose des questions et me remet en cause. Mon passé m’empêche de voir la vie comme un chaton de mon âge. Je suis trop terrorisé par ce que j’ai vécu pour me prêter à des jeux puérils avec d’autres bambins de mon âge. Oui je joue, je les déjà dis. Mais je suis toujours dans la découverte de mon monde. Dans chaque personnage dans lequel je m’incarne, je m’entraîne à voir les choses différemment que moi je les vois. Les personnages les plus dur à jouer pour moi, son les petits froussards qui ne sont jamais sortit plus loin que la grotte familiale. Je n’arrive pas à comprendre leur façon de penser et j’interprète très mal leur rôle…

Puf, pseudo • I.P
Comment avez-vous découvert WOC, LEGENDE ? • sur MYH
Etiez/êtes-vous sur WOC ? • Non
Libre expression • Je termine ma présentation dans les jours qui suivent. Escusez de mettre u temps, c'est juste que j'ai beacoup de travail et que je veux faire ça bien.D'ailleurs l'histoire n'est pas encore complête, je risque de mettre ou changer certaines choses. Voila
Preuve de votre lecture du règlement •
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Histoire • Vers de C. Baudelaire. Chapter 1 Sors-tu du gouffre noir ou descends-tu des astres ? Tu sèmes au hasard la joie et les désastres. Cette première partie va être un peu bizarre. Je ne peux pas vous raconter, je ne m’en souviens plus. Au lieu de parler à la place des personnes qui m’ont raconté diverse bout de ma naissance, je vais les laisser prendre la parole. Ne vous étonnez pas de ne pas comprendre les noms, de ne pas savoir qui sont ces chats. Tout cela sera expliquer dans les différents paragraphes, au fil de la lecture. Je trouve que ce procédé change de la normale et mettra une touche d’originalité à mon histoire peu banale. J’espère que vous ne serez pas perdus dans cette première partie et que mes explications sauront vous aider et guider dans ce récit peu commun. Je peux déjà vous dire que la seul chose que je me rappelle de cette journée là, et que je n’ai jamais oubliée, c’est le baisé et les caresses de ma mère qui furent les premiers et les derniers de toute son existence, de toute mon existence. Ame de lune : Pourquoi ? Pourquoi le seul survivant de mes 3 chatons devaient être celui qui ressemblait le plus à ce monstre, à ce traitre, à cet être que je ne pourrais oublier, que je pourrais cesser d’aimer, que je ne pourrais pardonner. Pourquoi ? Pourquoi ce petit la ? Lui, si blanc ! Lui, si tendre ! Ses yeux verts plongèrent un regard perdu et effrayé dans mon regard bleuté. Il était la parfaite réplique de son père. Les mêmes yeux, la même forme de visage, le même nez, le même pelage. Ses petites oreilles se couchèrent sur son crâne, il se mit à trembler. Je ne pus repousser cet élan de tendresse qui prit le contrôle de mon corps. Je le lavai, le caressai, le baisai. Je ne devais pas. Je ne pouvais pas m’empêcher de me poser la question : qu’est-ce qui saurait arriver si je n’avais pas succombé à cet élan de tendresse ? Serait-il encore en vie ? Ou au contraire, aurait-il succombé au froid de l’hivers ? Le seul nom qui me vint à l’esprit sortit de ma bouche sans que je n’en décide. C’était peut-être mieux ainsi, je n’allais pas l’appeler Ame d’émeraude, je le réserve pour le prochain, ce nom est trop beau et trop digne pour lui aller à lui. A ce fils de traite ! Ame qui brûle : Je me souviens encore de cette boule de poil rouge et visqueux qui venait juste de sortir du ventre de sa mère. C’était le premier chaton de la portée et le seul survivant. Je savais qu’elle n’était pas douée pour être mère. Il le savait aussi. Alors pourquoi l’avait-il abandonnée ? Pourquoi n’est-il pas resté et sauver la vie de ses fils. Ame Damnée. Quel triste nom pour cet être si tendre, si doux, qui ne connaissait rien de ces origines affreuses. Quand j’ai vu ma sœur le porter contre son flanc, le laver, j’ai cru que toute la haine s’était envolé.

N’est-ce qu’une facette car tout le monde la regardait ? Ou était-ce plus fort qu’elle, que l’instinct maternel avait pris pour quelques instants de sa vie le contrôle de son corps. Quand elle le nomma, tous mes espoirs d’une page tournée furent envolés. Et c’est vrai ! Comment oublier quand le visage de ce petit et la réplique parfaite de ce monstre ? Je ne lui en veux pas à ma sœur. Même si sa haine est incontrôlée, même si je n’adhère pas à son jugement, je ne me mêlerai pas de cette histoire. Moi-même à sa place, j’aurais fait ainsi… Ame perdue : Mon regard se posa sur Ame qui brûle. Elle était tellement attendrie devant l’image de tous ses chatons. Moi je ne me faisais pas d’illusion. Je bénirai et servirai l’unique survivant, si seulement il n’en restait un. Ame Damnée était fort dès sa naissance. Pourtant si frêle, il a su grandir et donner le meilleur de lui-même. Je ne mettrais peut-être pas ma patte a coupé, mais je pense, j’en suis pratiquement certains, que c’est son intelligence hors du commun pour son âge qui a fait ce qu’il est aujourd’hui, qui l’a fait survivre malgré les mauvais traitements de sa mère. Pauvre chatte, détruite par l’abandon de son âme sœur. Tellement détruite qu’elle voue une haine injuste et méprisable à son enfant, à ce fils qui n’y était pour rien dans cette histoire mise à par le fait qu’il ressemblait à son père, une réplique, une vraie. Moi, j’étais son oncle, j’étais le frère de ce traitre. Traitre qui ne l’était pas vraiment. Je connaissais les raisons de son départ, mais je n’allais pas prendre le risque d’offusquer sa mère, sa mère pour qui je donnerai ma vie. Mais elle ne semble pas comprendre, elle ne semble même pas s’apercevoir de mon existence... Ame méprisable : Je n’étais pas encore connu quand Ame Damnée naquit. Non, j’avais participé à la fête, caché dans la sombre forêt qui entourait la clairière dans laquelle cette pauvre chatte frêle et naïve mis bas. C’est de la d’où vient mon idée de prendre son cœur. C’est de la d’où vient mon idée, de la briser à nouveau et de lui faire comprendre que le genre opposé, n’a rien de bon en somme. J’avais peur. D’une part que le père soit dans la petite troupe. D’autre part, même si le mâle était parti, j’avais peur que la femelle voue un culte sans faille à ce lâche. Mais des morceaux de voix me parvinrent. « Ame Damnée ». Quel drôle de nom pour un petit. Ma mère m’avait donné un nom aussi détestable pour se venger de mon père. Est-ce pour la même raison que ce petit fut surnommé ainsi ? Il était si beau, recouvert de poil blanc, le sang tachait par-ci par-là son pelage et son visage d’ange, ses yeux verts, il ne méritait pas ce nom. « Il est la réplique parfaite de son père ». Un sourire naquit sur mon visage. Il est tant pour moi de passer à l’attaque… .

Chapter 2 Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ; Nous nous faisons payer grassement nos aveux, Et nous rentrons gaiement dans le chemin bourbeux, Croyant par de vils pleurs laver toutes nos taches. Son corps git, là, devant moi. – Tu l’as tué ! Tu l’as tué ! – Me répéta mon jeune frère en larmes. Non ! Non je ne peux pas y croire. Ce n’est pas possible ! Je dors et demain, les rayons du soleil me réveilleront dans une douce caresse pour me rassurer après ce mauvais rêve. Mais les doux rayons du soleil ne vinrent pas. C’était plus les violentes brûlures de mes sanglantes blessures qui me tirèrent de ma transe. Mon poil blanc était taché de sang rouge. Mes yeux verts luisaient de haine et de joie, comme si la mort de notre mère me réjouissait au plus au point. Moi ! Si jeune, si frêle disait-elle ! Qui ne ferait pas de mal à une mouche ! Moi ! Qui venait juste d’avoir vu 6 lunes. J’étais tellement petit. Il n’a fallut qu’une seconde, d’un pauvre bond sur le côté pour que la chatte enragée se jette dans le précipice qui se trouvait derrière moi. Mon regard se posa sur le haut de la falaise. Repensant à mon effroi et à ce sentiment de liberté qui naquit en moi. – Qu’as-tu fait ? Qu’as-tu fait ? – Répétait mon frère catastrophé. * Je l’ai tué * Une bouffée de satisfaction monta en moi. C’était si bizarre, sans ma mère, sans elle, je ne pouvais pas vivre, j’étais trop jeune, mon frère était en dangers. Je ne connaissais pas la chasse, je ne buvais encore que du lait, je commençais tout juste à goûter aux autres aliments si détestables pour moi. Je me revoyais en haut de la falaise. Regardant mon frère tentait de descendre par le petit chemin qui sillonnait le flanc de la falaise. Je l’entendais me hurler de descendre, qu’il fallait la sauver. Comme s’il n’avait rien vu ! Comme s’il n’avait rien entendu ! Pourquoi la sauver alors qu’elle avait tenté de me tuer ? Pourquoi sauver celle qui me haït, celle qui m’a toujours détesté et qui voulait me jeter du haut de ce précipice car j’avais refusé quelque chose à mon petit frère. – Tu ressemble trop à ton père ! – Disait-elle folle de rage, et dans son élan de colère, m’envoyé rouler à l’autre bout de la grotte. Mon regard glissa sur le chaton noir cendre. Lui, ressemblait ce mauvais, à ce traitre, à ce bougre de chat puant et détestable. Rien qu’à penser à ce menteur, à cet hypocrite sans cœur, j’avais la nausée. Que lui avait-elle trouvé ? Ne voyait-elle pas qu’il mentait comme il respirait ? Lui aussi devrait mourir, lui aussi ! Pour tout ce qu’il m’a fait ! Moi ! Fils d’un vagabond qui n’a ni loi, ni chaîne ! Qui a refusé ma mère et moi, par la même occasion, pour sa liberté qui n’a pas de prix. Je ne lui en veux pas d’être parti. Moi-même je ferais cela plus grand ! Moi-même je partirais. Mon frère finit par fondre en larme sur le corps de maman. Je me sentis honteux. Non, je n’allais pas me faire repentir de ce meurtre, même si ce n’était pas voulu, elle n’avait que ce qu’elle méritait. Mais j’étais tellement désolé pour mon frère. Avançant vers lui, je posai une patte sur son poil noir. Se retournant vers moi, ses beaux yeux vert émeraude me glacèrent le sang. Il se logea contre mon petit poitrail et se mit à pleurer, versant toutes les larmes de son corps. Mon regard se porta alors sur le visage de ma mère. Sa tête fracassée dans la chute. Etait-elle aussi méconnaissable ? Ou était-ce peut-être parce qu’à ce moment précis, je ne la reconnaissais plus en tant que ma mère ? C’était devenu une étrangère, une chatte effroyable qui a tenté de m’ôter la vie. Mon regard glacial la foudroyait. Je n’avais qu’une envie, la tuer de mes propres pattes cette fois et pas par un simple bond de côté. Mais il fallait prendre mon mal en patience. Bientôt. Bientôt ce sera le tour de ce beau-père. Bientôt, ce sera le meurtre de ce monstre vil et écœurant… C’est le Diable qui tient les fils qui nous remuent ! Aux objets répugnants nous trouvons des appas ; Chaque jour vers L’Enfer nous descendons d’un pas, Sans horreur, à travers des ténèbres qui puent.

Chapter 3 Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage, Qu’il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils. Comment redevenir bon avec cela ? Comment ne pas être poussé par la rage et la vengeance ? Mon corps réclame vengeance ! Mon âme réclame vengeance ! Si vous avez trouvé comment dévier toutes les viles pensées qui me rongent, alors dommage, il est déjà trop tard. Je crois avoir déjà mis pied en Enfer. Je crois que je suis déjà passé de l’autre côté. Pour moi il est déjà trop tard. Gardez vos conseils pour plus tard. Pour moi, je suis devenu le mal. Pour moi, je suis devenu le Diable. Mon corps est trop cassé. Mon âme est trop endommagée. Je ne peux plus faire demi-tour, c’est comme un couloir étroit. Je vois la lumière rougeoyante à la fin de ce labyrinthe. Je vois le Diable qui me tend les bras. Je ne saurais l’expliquer. Je n’avais pourtant rien fait. Juste un bond sur le côté. Mais voila que tout est venu en moi. Comme si une porte avait cédé et que tout ce qui ronge mon inconscience venait hanter mes songes, venait prendre le contrôle. C’est mon deuxième moi, caché depuis bien longtemps dans le fond de ma tête, qui a trouvé le moment propice, pour prendre le contrôle de mon corps. Et je regarde impuissant, ce monstre faire un tel ravage, avec mon nom, mon corps, ma voix, se faisant passer pour ce que je ne suis pas. Les bons souvenirs, même s’ils étaient peu nombreux, luttaient pour ne pas sombrer dans l’oubli. J’avais beau revoir la scène ou je découvris la première fois mon petit frère. La première fois où j’ai eu des tendresses de ma mère. J’ai beau rigolé en me rappelant de mes fous rires avec la petite boule noire. J’aimerai tellement en avoir d’autres. J’aimerai tellement mais cela est impossible. Après la mort de maman, j'ai du apprendre à chasser. Mon frère était encore trop petit pour se nourrir de viandes. Moi, moi j’ai réussi à survivre aux repas frugals et aux petits bouts d’insectes récoltaient par-ci, par-là. J’avais beau mettre juré de ne pas le faire. Quand mon frère mourut, j’avais tellement faim que tout ce qui restait de cette boule de poil était les os rongeaient jusqu’à la moelle. Comment, dites-moi, garder un bon souvenir après avoir vu ses os et goûter sa chaire ? Je n’ai pas retrouvé la trace de mon beau-père. Non, je suis tombé sur quelque chose de mieux. C’est grâce à cette rencontre que j’ai pu enfin chasser et manger tous les jours. C’est grâce à cette rencontre que je découvris pourquoi ma mère me détestait autant. Mon père était un chat tellement beau et gracieux. Tellement généreux et respectueux. Sur le coup je me suis demandé pourquoi ma mère le détestait tant. Il était si charmant, si serviable, si juste et bon. Il ne méritait pas tant de haine de la part de ma mère. Pourquoi ne pouvait-elle pas reconnaître que la liberté vaut cher, plus cher qu’une famille ? Il n’était pas parti un soir. Non ! Il était parti et il lui avait dit. Il était parti devant elle, alors qu’elle était bien réveillée et bien consciente de ce qui se passait. Il était parti dignement, pas comme un lâche. Il était parti pour sa survie, pour sa liberté, pour sa raison de vivre. Il était si jeune à l’époque, disait-il, que l’idée de s’encombrer d’un « gosse » l’effrayait.

Deviner si son cœur couve une sombre flamme
Aux humides brouillards qui nagent dans ses yeux.

Bienvenu.
J'aime beaucoup ton histoire pour le moment.

welcoooome
on attend le reste. Sinon, t'inquiètes pas, t'as de quoi t'appliquer à mon avis ^^

Merci!!

I.P
Quel honneur, contente de te voir ici !!!

Wah je ne savais pas que c'était un honneur! Je ne me savais pas si connue
Merci!

Mwa en tout cas je te connais

C'est Jojo?

Han moi aussi je te connais Tu peux être fière pour une fois que je retiens le puff de quelqu'un, en général c'est toujours les personnages que je retiens

Merci! Bon je vais faire mes devoirs et j'remplis le reste J'ai rajouté un peu d'histoire

Désolée du DP.

Voila, Wahou je me suis défoncée pour la présentation PTDR

Merci, j'ai trop galéré. J'ai trop de mal avec les codes XD

Merci!! Un petit topic quand je serai validée???

Bein tu es validé XD
Amuse toi bien !

En plus d'être fan des cadres, elle est fan des tableaux °0°
bon jeuuu

Tu crois qu'il y a encore de la place pour être fan de tes créas aussi ??

Nuage d'Innocence: Je le fais et je t'envois le lien

nan, c'est complet
vous voulez que ma tête passe plus par les portes ou quoi, namého ?